Dans la suite du projet du Plastiglomérat, j’ai voulu insister sur la tension que crée la sculpture immergée, l’étrangeté de son poids. Substituant le récipient de verre à l’allure pérenne et solide par de légers sacs de plastique, l’accroche est elle aussi permutée et s’articule de haut en bas. Les pierres de briques et de mortier sont de la taille du poing et se dessinent dans les sacs qui renferment parfois seulement de l’eau, ce qui souligne la tension similaire des sacs malgré le poids qui diffère.